Fantasme (n.m) : Scénario imaginaire figurant la réalisation d’un désir. Conscient ou inconscient, le fantasme est une mise en scène comprenant au moins deux personnes et une action qui les relie.
Longtemps considéré comme tabou, les fantasmes sont de plus en plus assumés aussi bien par la gente masculine que féminine. Et pour causes : ils alimentent le désir, intensifient le plaisir et brisent la routine. Nul besoin de se transformer en pornstar ou d’effectuer un virage à 180° pour étancher ta soif de nouveauté.
Cher lecteur, rien que pour toi, je décrypte la réalité derrière 05 fantasmes totalement réalisables car comme l’a si bien dit Oscar Wilde : « les folies sont les seules choses que l’on ne regrette jamais ».
05. Le ‘Sex on the beach’
Pré requis : Vivre à côté d’une plage.
Il ne s’agit pas du cocktail éponyme, non, c’est à prendre au sens propre. On en a tous rêvé : les reflets de la lune sur la surface de l’eau, la douce brise de l’océan, le doux murmure des vagues…
Scène incontournable des films à l’eau de rose, décor de clôture par excellence des films à gros budget d’Hollywood, top du top du romantisme, ce fantasme porte fièrement le label ‘Vu à la télé’.
Oui, mais ça… c’est à la télé.
Dans le monde réel, si d’aventure, tu décides décidez d’avoir des relations sexuelles à même le sable, tu te retrouveras avec : le sable qui rentrera dans tes parties intimes, les crabes qui te pincent, les yeux qui piquent… bref, ce sera l’horreur. C’est pourquoi il est indispensable de prévoir un tissu à étendre sur le sol.
Le manque de spontanéité est un gros moins : il faut prévoir son coup à l’avance.
04. Le ‘Sex in the car’
Pré requis : Avoir une voiture.
L’avantage avec ce fantasme, c’est que tu peux le réaliser n’importe où et n’importe quand, vu que c’est dans ta voiture. Pas besoin de mise en scène, de dispositifs, juste ton voiture, tu et ton partenaire.
Le hic, c’est le manque d’espace. C’est une voiture : le seul espace dont tu disposeras pour t’exprimer sera la banquette arrière, et ce n’est pas très grand.
Et là, encore, un second couac fait son entrée : il y’a voiture et VOITURE. L’idéal reste un gros 4×4 avec des vitres teintées, pour plus d’espace et d’intimité (tu es canon, je n’en doute pas, mais SVP aies pitié des passants innocents !).
Si tu as une petite berline avec vitres transparentes, il te faudra attendre la sombre et obscure nuit, et te placer dans un coin (très) isolé.
Ce qui me permet de rebondir sur ce point : que tu aies une petite ou une grosse voiture, garez-tu toujours dans un coin isolé et assurez-tu qu’il n’y ait personne. L’exhibition est un délit, la honte que tu ressentiras dans le cadre d’une telle arrestation te marquera à vie et je doute fort que tu ais envie de finir estampillé Exhibitionniste.
03- Jeux de rôles, jeux de vilains
Scénario : En fonction de la nature de votre relation, tu pourras choisir ou non de détailler chaque point de ta mise en scène ou pas.
Si tu optes pour une préparation poussée (conseillée aux débutants), le gros avantage c’est que tu ne seras pas déboussolé mais tu perdras en spontanéité.
Si tu choisis l’option 2, c’est-à-dire grande ligne et totale impro’, tu pourras laisser libre cours à ta spontanéité et à ta créativité.
Le tout est de trouver le scénario qui vous convienne à tous les deux, et vu le nombre de possibilités, il y’a fort à parier que tu en trouveras forcément un. Il y’a le classique « homme à tout faire », le soft « jolie inconnue que l’on rencontre au bar », le cultissime « professeur et élève pour cours particuliers », etc.
P.S : Pensez aux accessoires, ils ne sont pas obligatoires dans certains cas, mais on peut difficilement jouer aux prisonniers sans menottes !
02. Le soft bondage
Pré requis : Etre tous les deux d’accord : en aucun cas, je dis, je répète et je le mets même en majuscule, EN AUCUN CAS, tu ne dois faire du soft bondage sous la pression de ton partenaire (On se connaît… ).
Avant de commencer, parlez-en, discutez et fixez des limites à ne pas franchir.
Très popularisé par 50 nuances de grey, le mélange sexe et liens a toujours fait bon ménage et surtout fait couler beaucoup d’encre. J’insiste sur le mot SOFT (oui, une deuxième fois) parce que le bondage est très complexe : il procure beaucoup de plaisir lorsqu’il est bien exécuté, mais beaucoup, vraiment beaucoup, de douleur lorsqu’il est mal fait.
Je tu conseillerais de tu en tenir aux ligatures des mains et des chevilles, pas plus. Pour les liens, optes soit pour des menottes (oui, comme je l’expliquais déjà ici, c’est un indispensable), soit pour du tissu solide et épais. Pas de cordes tressées qui requièrent une certaine expérience.
Le (soft) bondage est un art sexuel très particulier où se mélange dévotion et passion et qui révèle les deux faces de tout un chacun : se laisser totalement aller à l’autre, c’est le côté fleur bleue ; la pression des liens, la montée d’adrénaline, briser un tabou, c’est le côté rebelle.
01. L’amour avec un grand A
Pré requis : Aucun.
N’en déplaise aux cyniques, rien n’est aussi enivrant que le fait d’être aimé et d’aimer.
L’amour, un mot simple pour décrire un sentiment si complexe : Savoir que l’autre sera là de tout temps et en tous vents, dans la pauvreté comme dans la richesse, dans la maladie comme dans la santé, que tu sois laid ou beau, …
Il n’y a pas de mots pour décrire l’effet obtenu.
Sur ce point, je n’ai pas de conseils à tu donner, ni d’expériences à partager, c’est à chacun d’écrire sa propre romance.
Je finirais sur cette splendide déclaration d’Honoré de Balzac à Madame Hanska:
« Oui, je t’aimerai, seule et unique dans ma vie. Tu as tout ce qu’il me plaît. Tu exhales pour moi, le parfum le plus enivrant qu’une femme puisse avoir, cela seul est un trésor d’amour. »
Avant de me quitter, surtout, SURTOUT, n’oublies pas de t’abonner au blog afin de recevoir les articles de blog par email dès leur sortie.
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