Un épéiste légendaire rongé par les remords…
Une fraternité de samouraïs prêts à tout pour défendre leur cause…
Un gantelet hanté par des esprits aux motivations floues…
Des zombies qui émergent des ténèbres pour effacer des villages de la carte du monde…
Et surtout, une production inspirée d’un titre légendaire de Capcom.
Il n’en fallait pas plus pour me convaincre de regarder Onimusha sur Netflix.
Durant une journée, j’ai enchaîné les huit épisodes de la saison 1.
Et de ce binge watching, un personnage est resté à jamais gravé dans mon esprit : Lemon. Malheureusement, ce n’est pas pour les bonnes raisons.
Lemon est un soufflé au citron qui retombe une fois sorti du four. Pendant les trois quarts de la série, il est présenté comme The boss. Puis, il entre en scène… Et c’est la douche froide.
Le bon côté, c’est que Lemon est un cas d’école illustrant parfaitement les erreurs à ne pas commettre si vous rédigez un persona. Servons-nous en.
Très cher clan, enfilez vos armures, limez vos katanas. Il est temps d’aller tailler du Genma.
⭐⭐⭐ La vidéo YouTube reprenant l’article ⭐⭐⭐
Si vous ne me connaissez pas encore, je m’appelle Magali.
Rédactrice web depuis 2018, je me décris comme un Samouraï des mots qui annihile les textes plats du revers de sa lame.
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Bien ! Maintenant que les présentations ont été faites, rentrons dans le vif du sujet.
Pourquoi exactement Lemon est-il un personnage aussi peu convaincant ?
1. Un objectif aussi clair qu’un épais nuage de brouillard
Vu que je ne suis pas sûre que vous ayez regardé la série, je vais faire un rapide résumé.
Musashi est un épéiste légendaire. À la suite d’une rébellion, il est mandaté par le Daimyo pour aller explorer ledit village. Seulement, il ne sera pas seul. Avant de prendre la route, il se voit confier un gantelet possédé par des Onis et sera tenu de cheminer avec des Samouraïs.
Ça, c’est juste le synopsis. Au fil des épisodes, Musashi et sa clique croiseront le fer avec des zombies et mettront en lumière des intentions maléfiques.
Comme je l’ai dit plus tôt, je ne vous en dis pas trop. Si vous voulez en savoir plus, la série vous attend sur Netflix.
J’ai regardé Onimusha une fois. Puis une seconde fois. Et je viens de regarder la série une troisième fois.
Malgré tous ces visionnages, je n’arrive pas à répondre à une question : en fait, que veut exactement Lemon ?
Là encore, il faut que je plante le décor au risque de vous perdre.
Plus jeune, il a grandi dans un quartier rouge. Sa mère était une travailleuse du sexe et aucune mention n’est faite de son père. Un jour, des samouraïs ravagent son village.
Unique survivant, Lemon est recueilli par Maître Matsuki et devient lui-même un samouraï. Lemon n’est pas juste bon. C’est de très loin l’apprenti le plus talentueux de son koryu. Cependant, il porte en lui les séquelles de son enfance.
Lemon éprouve une haine viscérale contre les samouraïs qu’ils considèrent comme des pantins aux ordres de leur supérieur. En résumé, il les voit comme des tueurs en armures brillantes qui font couler le sang à la moindre occasion.
Son plan, c’est donc de tuer tous les samouraïs pour les remplacer par une armée de démons se faisant appeler Genmas.
D’accord. Mais pourquoi exactement ?
Tout comme les samouraïs, les Genmas obéissent aveuglément aux ordres de celui qui les dirige. Et eux aussi n’ont absolument aucun problème à se recouvrir de sang d’innocents.
Pourquoi remplacer des assassins sans conscience par d’autres tueurs sans remords ?
Je vous avoue que je ne comprends pas les intentions de Lemon.
Si vous avez regardé la série et avez des explications, mettez-les en commentaires. Je serais ravie que quelqu’un éclaire ma lanterne.
La fumée qui entoure les desseins de Lemon est un gros moins. Je ne sais pas… Tous les méchants ont des objectifs dont l’avant et l’après sont clairs.
Dans Demon Slayer, Muzan fait des pieds et des mains pour devenir immunisé au soleil. Actuellement, si le soleil le touche, il meurt. S’il atteint son but, il pourra marcher en plein midi sans craindre pour sa vie.
Profondément traumatisé par les guerres, Madara rêve d’un monde sans conflits ninjas. Si son plan marche, tout le monde devient heureux dans un monde factice mais sans guerres. C’est très loin de leur réalité actuelle où les clans sont toujours à deux doigts de s’étriper.
Et je pourrais continuer sans fin.
Dans toutes les œuvres, qu’il s’agisse d’anime ou pas, il y a une cassure nette entre le monde actuel et celui idéalisé par l’antagoniste.
Pas dans Onimusha.
À l’instant T, des innocents sont tués par des samouraïs qui ne remettent pas en cause les ordres qui reçoivent.
Dans l’Éden de Lemon, il n’y a plus de samouraïs mais des Genmas qui abattent tout ce qui bouge.
En quoi le problème est-il réglé ? Dans un cas comme dans l’autre, des personnes dont le seul crime est d’exister finissent six pieds sous terre.
Si vous êtes en train de créer un persona, attention à ne pas commettre cette erreur.
Un bon persona a un besoin précis.
Chaque soir, quand il s’endort, il s’imagine dans une situation idyllique si détaillée que chacune de ses cellules vibre.
Un exemple avec un produit ordinaire.
Supposions que vous viviez dans une région sans eau courante. Techniquement, il y a un système d’irrigation mais à cause d’une gestion désastreuse des ressources nationales, les robinets restent secs.
En conséquent, chaque jour, vous devez consacrer deux à trois heures à faire des réserves d’eau. Dès que vous rentrez du travail, vous vous changez et soulevez une bassine d’une capacité de 10 litres.
Ensuite, vous parcourez 100 mètres, escaladez des collines et sautez au-dessus de rigoles. Vous arrivez à un forage, remplissez votre bassine et faites le chemin inverse.
Pour assurer vos besoins quotidiens, vous devez parcourir ce chemin trois fois par jour.
Avoir de l’eau est pénible. Il n’y a pas d’autres mots.
Toutefois, attention à ne pas ratisser large lors de la définition de votre objectif. Dire « Je veux avoir de l’eau sans m’épuiser » ne suffit pas. Pourquoi ? Parce que trop de solutions sont possibles.
Pour résoudre ce problème, il est possible de :
- Solliciter les services d’une personne qui se chargera d’aller puiser l’eau à votre place ;
- Creuser un puits ou un forage dans votre cours ;
- Créer un forage et d’ensuite le connecter directement à votre tuyauterie.
Là, juste à chaud, j’ai trouvé trois méthodes permettant d’avoir de l’eau en faisant moins d’efforts. Pour chaque procédé, la marche à suivre sera différente. Et surtout, l’avant/après ne sera pas le même.
Dans le 1er cas, quand vous aurez besoin d’eau, vous devrez en prendre dans une bassine. Dans le second, vous devrez avoir dans votre jardin avec une bassine. Et dans le troisième, vous n’avez qu’à tourner un robinet pour que se déversent les flots.
Il doit y avoir une différence nette entre la situation actuelle de votre persona et celle de son monde rêvé.
Malheureusement, c’est quelque chose qui fait défaut à la construction de Lemon. Il se plaint que des innocents sont tués par des meurtriers sans cœur. Mais si les Genmas prennent la place des samouraïs, le son de cloche sera exactement le même.
Bref… C’est difficile à comprendre. Exactement comme le second point.
2. Une personnalité qui change au gré du vent
Durant les six premiers épisodes d’Onimusha, Lemon est présenté comme un architecte du crime.
Il est calme, posé et mesuré dans ses actes.
Tapi dans l’ombre, il pousse ses pions avec le sang-froid d’un joueur d’échecs.
Même lors des flashbacks, quand le jeune Lemon est présenté, il est doué pour maintenir les apparences.
Quand Maître Matsuki le prend comme apprenti samouraï, il ne laisse pas transparaître une once de dégoût. Quand il perd face à Sahei, en public, il garde son sang-froid et félicite poliment son adversaire. Ce n’est qu’une fois seul avec celui qu’il considère son rival qu’il laisse échapper une petite pique.
Durant 75 % du show, Lemon est un héros de la trempe de King Bradley de Full Metal Alchemist ou de Light Yagami de Death Note. Il est maître de ses émotions, calculateur et a toujours un coup d’avance.
Et puis, il sort de l’ombre à l’épisode sept.
C’est juste le jour et la nuit.
Lui qui était si calme hurle à tout-va comme une collégienne face à son boy’s band préféré. Il parle, parle, parle et ne s’arrête jamais. Il fait des grands gestes et une caricature même de grandiloquence.
Comment est-ce que je peux t’expliquer le changement ?
Je sais. Prenons Death Note. C’est comme si, en un claquement de doigts, Light Yagami adoptait la personnalité de Misa Amane. Mais en plus bruyant.
En plus de perdre tout son charisme, ce changement brusque de personnalité est perturbateur.
Où est passé l’orphelin désirant mettre un terme au massacre réalisé par les samouraïs ? Mais qui est donc cet homme bavard, incapable de se maîtriser et qui prend plaisir à torturer les autres ?
L’épisode sept fut une claque. Même après trois visionnages, je n’ai pas compris.
C’est une cassure nette, irrationnelle et qui va à l’encontre du développement du personnage. Déjà que sa mission était floue, ça n’aide pas.
Une personne ne peut pas changer de personnalité en un claquement de doigts. Est-ce que nous évoluons au fil du temps ? Bien sûr que oui. Mais c’est progressif et par paliers.
Lorsque vous créez votre persona, assurez-vous qu’il n’ait pas une multitude de personnalités. À moins que ce soit un trait de votre cible, attribuez-lui des traits fixes et immuables.
En effet, c’est en fonction du style de vie et des attentes de votre persona que vous concevrez votre solution.
Appuyons-nous sur une illustration concrète.
À gauche se trouve Marie, une ratte de bibliothèque qui ne lève le nez de ses bouquins que pour suivre des podcasts ou des chaînes YouTube.
À droite, il y a Séléna, une ex-banquière qui a décidé de passer au maximum une heure face aux écrans. Privilégiant les rapports un-à-un, elle multiplie les sorties et est toujours d’attaque pour participer à des activités en groupe.
Vous êtes d’accord avec moi : Marie sera beaucoup plus sensible aux communications numériques que Séléna.
Si vous misez tout sur le digital pour vendre à Séléna, vous resterez avec vos produits sur les bras. Et parallèlement, si votre principale stratégie consiste à sponsoriser des événements locaux, vous échapperez au radar de Marie.
Regardez Onimusha. Voyez comment Lemon s’écrase quand il se métamorphose sans signaux annonciateurs. C’est ce qui attend votre entreprise si votre persona englobe à peu près tous les traits de caractère.
Et dans le cas de l’anime, c’est juste terrible.
Toujours dans l’épisode 7, Lemon, qui est déjà sans but et sans saveur, perd encore un point de charisme.
3. Danse, petite marionnette. Danse.
Je ne sais même pas si je devrais encore être surprise.
Vu que Lemon ne sait pas exactement où il va et qu’il ne sait même pas qui il est, ce qui suit n’est pas surprenant.
Après six épisodes intenses, la vérité tombe : Lemon n’est qu’un pantin.
Pour faire plier le légendaire Musashi, Lemon se sert du pouvoir des Genmas pour ressusciter Kojirou. Kojirou, c’est la baleine blanche de Musashi. Son ennemi ultime. Son éternel rival. Le seul qui, un jour, a failli le vaincre.
Alors, Lemon le rappelle du monde des morts.
Dans l’épisode sept, le nouveau Lemon psychopathe ordonne à Kojirou de sectionner les bras et les jambes de Musashi. Ce dernier dépose sa main sur la garde de son épée. L’écran devient noir. Des stries blanches balaient l’obscurité. Deux bras et deux jambes se décrochent d’un torse.
En quelques secondes, Lemon est privé de ses membres.
J’aimerai pouvoir dire que j’ai été surprise mais ce n’est pas le cas.
À ce stade, Lemon n’avait plus aucune tenue. Et au vu de la stature de Kojirou, il n’y avait pas de raisons qu’il suive les ordres d’une personne qui lui était clairement inférieur.
Je ne me rappelle plus où mais j’avais lu que les troupes suivent aveuglément leurs chefs pour deux raisons. Soit parce qu’elles croient en la cause qu’il défend, soit parce qu’elles ont confiance en l’homme qui porte la cause.
Lemon n’ayant ni objectif, ni personnalité, il ne pouvait être suivi par un combattant aussi talentueux que Kojirou.
Eh attendez car la descende aux enfers ne s’arrête pas là.
Tout le long des épisodes précédents, Lemon est présenté comme celui qui condamne les Genmas.
Après sa décapitation, quand il git à terre, même les Genmas de base n’en ont rien à faire de lui. Pourquoi est-ce qu’il n’ordonne pas à ses esclaves zombifiés de lui faire des garrots ? Ou alors, de le porter dans son atelier pour qu’il puisse devenir un Genma ?
C’est à ce moment que j’ai perdu tout espoir concernant Lemon.
Ce n’est juste pas possible d’avoir un personnage ayant autant de potentiel et de tout gâcher.
Et non, ce n’est pas parce qu’en fin de compte, il n’est pas le « vrai » boss de fin.
Je vais prendre un contre-exemple très connu : Madara Uchiwa de la saga Naruto.
Madara est un crack. Il n’y a pas d’autres mots.
Au combat, il est majestueux. Sur le plan narratif, c’est un personnage riche en couleurs auquel il est facile de s’identifier. Ce n’est pas un saint mais il est facile de comprendre pourquoi et comment il en est arrivé à de telles extrémités.
Au moment où Zetsu noir dévoile sa machination, c’est un choc.
Rien ne laissait présumer un tel retournement de situation. Et le plus intéressant, c’est que le fait que Madara ait été manipulé n’ôte rien à son aura.
D’accord, Zetsu et sa mère se sont arrangé pour troubler sa perception des choses. Et alors ? Il reste brillant parce que sa personnalité est cohérente et qu’il incarne son rêve.
Madara n’est pas l’antagoniste ultime mais il est sans doute l’un des plus marquants. Je ne peux pas en dire autant de Lemon. C’était un vrai pantin, esclave de ses pulsions et du cafouillage de ses auteurs.
Il en sera de même pour votre persona si vous ne le soignez pas.
Vous vous retrouvez avec un client fictif qui pourra être modulé au gré des envies des parties prenantes. Vu que ses contours seront flous, chacun pourra en tirer des conclusions qui l’arrange.
Au lieu de devenir la racine de votre business plan, votre persona ne sera qu’une feuille qui volète au gré du vent.
4. La mort la plus bête de tous les temps
Autre point qui m’a laissé sur ma faim : la mort de Lemon.
Malheureusement, elle a compilé toutes les faiblesses du personnage.
Le magnétisme du jeune samouraï a été effacé au profit d’un penchant pour les cris et la gesticulation.
Comme il a oublié que le silence est d’or, il parle, débite des balivernes, fait des promesses irréalistes, etc.
Et étant donné qu’il est aussi manipulable qu’un enfant de trois ans, il saute littéralement dans les bras de son assassin.
Pourquoi ?
Pourquoi ?
Pourquoi ne pas avoir ordonné au Genma qu’il est censé commander de le porter dans son atelier ?
Pourquoi avoir essayé de convaincre Sahei dont il connaissait la loyauté au Daimyo, le non-matérialisme et l’intelligence supérieure ?
Vraiment, la mort de Lemon est à l’image de son narratif : décousue de toutes parts. C’est l’un des rares points où il y a un minimum de cohérence.
Il a vécu comme une marionnette et est mort comme un pantin.
Voilà !
Et comme je n’ai rien à ajouter, nous allons passer au cinquième et dernier point.
5. L’absence totale de challenge
Vu le format de cette vidéo, je n’ai pas beaucoup évoqué les aspects positifs d’Onimusha. Pourtant, il y en a beaucoup.
Les graphismes et l’animation sont à couper le souffle. Les scènes de combat sont à la hauteur du jeu vidéo. Et même si les personnages secondaires tombent comme des mouches, les scénaristes s’en servent pour aborder différents angles.
Honnêtement, la série est bien.
Ce n’est pas l’anime de l’année mais il reste correct. Disons qu’il est bien mais pas mémorable.
Et de mon point de vue, c’est en grande partie parce qu’il n’y a pas de réel challenge. Quand l’épisode huit s’est achevé, j’étais toujours sur ma faim.
J’ai vu des combats à couper le souffle. Des personnages parfois attachants, parfois oubliables.
Mais en fait, à quoi servit tout ce périple ?
La série Netflix a un réel problème : il n’y a pas de challenge.
Déjà, il y a le fait que l’antagoniste principal ne sache pas où il va et ait plus de personnalités que dans le film Split. À la fin, son plan qui ne tient pas debout est effacé au profit d’une rivalité entre Kojirou et Masushi.
Mais même là… Qu’est-ce qui les incite autant à se frotter les katanas ? Étant donné que ce n’est pas développé, ça ressemble à un pur trip d’ego.
Derrière tout anime se trouve une quête.
Dans Naruto, on suit un jeune paria qui se démène pour devenir Hokage et ramener la paix.
Dans Full Metal Alchemist, il s’agit de deux frères qui cherchent à percer le secret de la pierre philosophale.
Dans The Promised Neverland, Emma et ses frères essaient d’échapper à leur condition de bétail.
Mais dans Onimusha ?
Il a déjà établi que Lemon se laissait porter par le courant. Mais Masushi, pourquoi exactement s’inflige-t-il tout ça ?
Je n’ai pas vu en Onimusha une quête suffisamment forte pour justifier autant d’efforts. Du coup, malgré une animation au top, la série s’oublie rapidement.
Si vous ne voulez pas que votre persona tombe dans l’oubli, assurez-vous qu’il ait un problème douloureux, urgent et reconnu. C’est le fameux acronyme DUR.
C’est uniquement si cette condition est remplie qu’il sera intéressant.
Qu’est-ce qui fait souffrir votre persona ? Quel est le furoncle sur le flanc du Christ qui l’empêche de dormir sereinement ?
Voyez le parcours d’acheteur de votre futur client comme une quête.
Son problème DUR est le grand ennemi à abattre, la princesse à sauver ou le super pouvoir à débloquer.
Et au vu de son importance, il ne peut pas s’agir d’un énième item qu’il va looter ou d’un des monstres qu’il farme pour avoir de l’XP.
Regardez dans les animes, les jeux vidéo, les films, etc. Les personnages centraux ont toujours des chara designs qui sortent du lot. Et c’est normal. Ils doivent assez uniques pour que vous ayez envie de sortir de votre zone de confort.
C’est exactement la même chose pour votre persona.
Quelle est la situation à laquelle il doit mettre un terme pour croquer la vie à pleines dents ?
Dans Onimusha, cette question a été balayée du revers de la main. Résultat des courses : la série animée s’oublie quelques jours après avoir été regardée.
C’était tout pour aujourd’hui.
Je serais heureuse de savoir ce que vous avez pensé d’Onimusha de Netflix. Faites-moi part de votre opinion en commentaires et aimez la vidéo.
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Sur ce, je vous dis « À la prochaine vidéo ! ».
